
C’est sous l’égide de la commission « Animations » que les membres du Conseil Municipal ont invité la population crisseyloise à participer à une matinée consacrée au ramassage de déchets divers présents dans l’espace public, voir en pleine nature et dans tous les cas en dehors des endroits dédiés à cet effet.
Quatre circuits distincts entourant le cœur de village ont été parcourus par des équipes motivées composées de villageois et de conseillers municipaux. Un flyer annonçant cette matinée de nettoyage avait été distribué préalablement dans les boites aux lettres des habitants.
Pour une première depuis l’installation de la nouvelle équipe municipale, la réponse apportée par les crisseylois a été à la hauteur de l’enjeu. On peut parler d’une très belle mobilisation puisqu’un groupe d’une quarantaine de personnes s’est retrouvé sous un beau soleil et dans une très bonne ambiance devant la mairie ce samedi 29 mai.
Une implication gracieuse du magasin E.LECLERC a permis d’équiper les bénévoles en gants et en sacs poubelle. Une mise à disposition bien sympathique de pinces à déchets de la part des Services Techniques du Grand DOLE est venue compléter l’attirail des participants. Nous ne pouvons que saluer ces engagements dans la préservation de l’environnement et remercier le Directeur de l’enseigne ainsi que les responsables des services du Grand DOLE pour leur aide précieuse dans l’organisation de cette matinée.
L’opération n’a pas généré une collecte significative de déchets au centre du village, toutefois elle s’est montrée plus « productive » aux abords de la voie douce Grévy, lieu considéré hier et malheureusement encore aujourd’hui comme espace ouvert aux dépôts sauvages de toutes natures.
Bien évidemment les élus, bénévoles, riverains et d’une manière plus générale les grands dolois espèrent que ces pratiques « indignes » et par ailleurs répréhensibles par la loi, ne perdureront plus à l’avenir. Ce serait là faire preuve de civisme, de savoir vivre ensemble et de responsabilité… tout simplement.
Depuis quelques temps, de nombreuses poubelles crisseyloises sont abandonnées sur les trottoirs ou en bord de route. Elles procurent une pollution visuelle et gênent parfois la distribution du courrier. Les passants empruntant les cheminements doux de la commune sont obligés de descendre des trottoirs et de marcher sur la chaussée. Ce n’est pas normal !!!
Parfois, certains de ces containers en matière plastique peuvent rester plus d’une semaine au même endroit. Ce n’est pas normal !!!


Pour éviter tous ces désagréments, les propriétaires concernés n’ont en général qu’à effectuer un aller-retour d’une vingtaine de mètres pour les récupérer et les ranger dans leur propriété. Ce serait normal !!!
On peut observer avec satisfaction que bon nombre de nos concitoyens participent à l’entretien régulier des abords de leur propriété. Qu’ils soient remerciés et encouragés. Tonte des espaces enherbés, désherbage, ramassage des feuilles et autres détritus sur les trottoirs font partie des gestes et usages habituels, considérés par eux comme normaux dans le bien vivre en communauté.
Cet état d’esprit mériterait d’être partagé par un plus grand nombre de nos concitoyens. Ils contribueraient ainsi à donner une image plus coquette et plus agréable de notre village. Nul doute que l’engagement de certains sera source d’émulation pour d’autres.
A savoir : les trottoirs relèvent du domaine public. Malgré cela, c’est le propriétaire occupant, le locataire ou l’usufruitier de l’habitation qui doit en assurer l’entretien : le nettoyage des feuilles mortes et détritus, le désherbage, le dégagement de la neige ou du verglas, l’épandage de sel, de sable ou tout autre produit visant à assurer la sécurité du trottoir en hiver.
Après une année 2020 quasiment fermée à toutes manifestations, 2021 s’est présentée à nous dans un contexte tout aussi difficile. Comme pour toutes les associations ou clubs, la commission communale d’action sociale a vu ses projets d’animation contrariés par la crise sanitaire. Pourtant les membres du CCAS ont fait preuve durant cette période de dynamisme et de constance dans l’expression de propositions nouvelles et innovantes. L’horizon semble se dégager, alors faisons le point sur les actions communales menées et à venir pour cette fin d’année.
Mais tout d’abord revenons sur le succès remporté par l’organisation du premier après-midi jeux de société. C’était le dimanche 26 septembre. Toute la population a été conviée à se retrouver à la salle des fêtes autour d’Arnaud DESMARE, initiateur du projet,accompagné et aidé par d’autres membres de l’équipe municipale, pour se divertir autour de jeux de société. Grâce aux nombreux jeux mis à disposition par la ludothèque de Tavaux (merci à ses responsables), chacun a pu trouver de quoi passer un agréable moment. Convivialité, découverte, rencontres et échanges entre plusieurs générations… quoi de plus beau !!!
C’est pour pérenniser ce rendez-vous et l’inscrire durablement dans le calendrier des crisseylois qu’Arnaud et son équipe propose d’ores et déjà la programmation des dates suivantes :
N’hésitez pas à inscrire dès maintenant ces rencontres dans votre agenda.

La boum des enfants, c’est LE nouveau rendez-vous qui a invité les petits et grands (maxi 11 ans) à venir se déchaîner sur la piste de la salle des fêtes.
Un musicien, Michel LANDRY par ailleurs conseiller municipal, a entraîné les enfants dans le monde magique de la danse, façon soirée de grands, vendredi 22 octobre de 18h30 à 21h30. Une petite restauration était même proposée aux participants. Enfants et parents ont répondu en nombre à l’invitation des membres de la commission municipale. Les voilà tous arrivés ! La fête est lancée… et c’est gratuit.
Merci aux gentils organisateurs Véronique LAUBEPIN, Martine DAVID, Myriam JACQUES, Chantal ZABOTTI, Bernard MAGNIN et Michel LANDRY, d’avoir donné de leur temps pour divertir les enfants.

Pour une utilisation partagée dans de bonnes conditions, les principales règles à respecter sont les suivantes :
Aux débouchés de la voie Jules Grévy en intersection avec les voies routières ouvertes à la circulation publique, les utilisateurs de la voie Jules Grévy devront céder le passage aux usagers circulant sur les voies rencontrées.
Les usagers circulant sur la voie Jules Grévy devront céder la priorité (CÉDER LE PASSAGE) ou marquer un temps d’arrêt et céder la priorité (STOP) aux véhicules circulant sur la voie protégée rencontrée et ne s’y engager qu’après s’être assurés qu’ils peuvent le faire sans danger. Ce régime de priorité s’appliquera dans les deux sens de circulation pour les usagers de la voie Jules Grévy.
Ils circuleront à droite de la voie. Les cyclistes et rollers notamment devront ralentir et se signaler à l’approche ou au croisement des piétons.
Il est vivement recommandé aux cyclistes et aux rollers d’appliquer une vigilance particulière pour le franchissement sous les ponts où la visibilité est réduite et aux véhicules motorisés autorisés d’émettre un signal sonore.
Seuls les animaux tenus en laisse courte sont admis. Les déjections canines seront ramassées par la personne responsable de l’animal.
L’accès aux ouvrages installés en bordure des berges de la voie d’eau (tels qu’aqueducs, siphons, écluses, prises d’eau, etc. …) est strictement interdit.
La cueillette ou l’arrachage de végétaux est rigoureusement interdit sur l’emprise de la voie Jules Grévy.
Il en va de même pour le camping sauvage, les feux et le dépôt sauvage de détritus (déchets, papiers, plastiques, etc.).
Les conseillers municipaux ont donc récemment validé le projet de création d’un circuit de découverte : un circuit touristique, patrimonial et environnemental réalisé pour les crisseylois, les touristes itinérants, les établissements scolaires… et autres publics.
Faire découvrir notre village en proposant à un large public un circuit équilibré entre nature, culture et divertissement, tel est l’objectif des élus. Ce projet apportera un dynamisme et une attractivité à notre territoire. C’est aussi proposer des leviers aux crisseylois pour qu’ils s’approprient l’histoire de leurs « ancêtres » et de leur village (découverte, prise de conscience et connaissance du patrimoine).
Le visiteur qui vient à Crissey ne doit pas être déçu par l’histoire qui va lui être racontée. Néanmoins, pour la découvrir, il faut lui donner des clefs de lecture.

La création d’un circuit (boucle) de découverte au cœur du territoire. Dix étapes identifiant les principaux centres d’intérêts patrimoniaux du village constitueront le périple : le Château de Crissey, l’église, l’ancien moulin – l’usine électrique, un atlas de la biodiversité, l’ancienne école et mairie, la raie des Moutelles et son pont de pierre, le finage crisseylois, la croix calvaire et les anciens commerces, la voie Grévy avec un point sur la forêt communale, le cimetière et les illustres crisseylois (famille du comte du BOIS JAGU de la VILLERABEL, le général de MONTENON, la famille MUNERET…) puis retour au parking du château. Une approche ludique accompagnera les randonneurs dans leur déambulation : pendant la balade, toute la famille aura droit à la résolution de quelques énigmes. La réponse aux devinettes conduira les « enquêteurs » à retrouver la clé perdue par le meunier du moulin de Crissey.

Jean Claude CHARNOZ, le conférencier de l’Université Ouverte bien connu des grands dolois, et crisseylois de longue date, a accepté de nous accompagner dans nos recherches historiques.
Vous pouvez nous aider en nous faisant partager vos connaissances, des anecdotes, des photos ou des cartes postales, des écrits, ou tout autre document relatif à l’histoire du village et aux gens qui l’ont animé par le passé.
Contact secrétariat de la mairie (contact@crissey-jura.fr) et tel. : 03 84 72 08 17
L’analyse des statistiques de la délinquance de la commune laisse apparaître une criminalité croissante, 5 faits d’atteinte aux biens en 2019, 10 pour l’année 2020 et près de 40 interventions de la Gendarmerie pour la période allant de janvier 2020 à juin 2021.
Les cambriolages ont augmenté puisqu’en 2019 la commune ne déplorait aucun fait alors qu’en 2020 6 cambriolages ont été commis. Par ailleurs, des dégradations et incivilités sont régulièrement signalées mais ne font pas l’objet de dépôts de plainte systématiques (comme par exemple les dégradations régulières commises ces derniers mois sur notre mobilier urbain).
La Commune met en place des moyens de lutte contre l’insécurité et rappelle quelques gestes afin de prévenir les autorités.

Le projet vise à installer un système de vidéosurveillance afin d’assurer la protection des infrastructures de la commune (mairie, salle des fêtes, atelier et garage communal, installations sportives), et de ses habitants.
Cette démarche entre dans le projet initié par la communauté de l’agglomération du Grand DOLE au profit de toutes les communes de cette structure ayant répondu favorablement.
Les zones couvertes par le système correspondent aux besoins, tant en matière de protection des personnes et des biens qu’en matière d’aide à l’enquête judiciaire.
Les objectifs du projet sont multiples : prévention de la délinquance, protection des biens et des personnes, sécurité routière, sureté (intrusions, dégradations), prévention des vols et des activités illégales.
Installation de 7 caméras aux endroits « stratégiques » du village définis en concertation avec le référent « Sureté » du département.
Automne 2021 – 2022 – 2023- 2024. La première caméra est en cours d’installation.
Évaluation annuelle lors du bilan « Gendarmerie », Suivi du nombre et type de délits et incivilités répertoriés, Suivi du nombre d’actions correctives engagées.
Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours. Elles ne pourront être visualisées que par des personnes dûment habilitées et sur demandes explicites de la police, de la gendarmerie et de l’autorité judiciaire.

PHAROS est l’acronyme utilisé pour désigner la Plateforme d’harmonisation, d’analyse, de recoupement et d’orientation des signalements, un site créé en 2009 par le Gouvernement Français pour permettre aux internautes de signaler des contenus et comportements illicites repérés en ligne.
Les signalements peuvent être réalisés par n’importe quel citoyen sur le site Internet de la plateforme. Une équipe de 50 agents de police et de gendarmerie analysent les signalements, et alertent si nécessaire les forces de police, de gendarmerie, de douanes ou encore le service de répression des fraudes.
L’équipe de Pharos communique avec les grandes plateformes comme Facebook ou Twitter, à qui elle demande régulièrement la suppression de contenus faisant l’apologie du terrorisme, ou à caractère pédopornographique.


Vous allez vous absenter, pensez également à solliciter les services de la Gendarmerie dans le cadre de l’opération TRANQUILLITE VACANCES.
Le projet consistait à démolir l’ancien atelier communal vétuste et aujourd’hui inadapté pour le remplacer par une structure dédiée à accueillir les activités quotidiennes d’un employé communal en apportant une amélioration significative de ses conditions de travail notamment au niveau de la sécurité et de l’hygiène.
La nouvelle structure réalisée fait appel à l’assemblage de panneaux en bois et s’inscrit ainsi de manière homogène dans le paysage urbain du cœur de village. Il est à noter que ce nouvel atelier a trouvé sa place en mitoyenneté du garage communal présentant déjà dans sa construction un aspect tout à la fois rustique et moderne lié à l’utilisation du bois.
D’une superficie de 120 m2, les deux bâtiments reçoivent l’ensemble des équipements techniques et font office à la fois de garage pour les véhicules communaux dans la première partie du corps de bâtiment et d’atelier dans la nouvelle extension. Vestiaire, kitchenette et douche sont aujourd’hui à la disposition du personnel.
Merci à Michel LANDRY, Didier LAUBEPIN, Bernard MAGNIN, Patrice PANNAUX et à Pierre PIOTELAT pour leur engagement et leur bonne humeur dans le cadre des « ateliers du jeudi ».
Attendus avec impatience, ils sont bien là aujourd’hui. Je veux parler bien sur des employés des différentes entreprises prestataires du Département en charge du déploiement de la fibre optique.
Le sous-répartiteur optique (armoire SRO) est maintenant installé. Les longueurs de fibre trouvent leur place dans les gaines souterraines. Viendra ensuite le temps de la mise en place et/ou du remplacement de poteaux utiles au transport des données, la poursuite du tirage des câbles, leurs raccordements, les phases d’audits et de vérifications…

Pour les communes jurassiennes (sauf cas des villes centre par exemple DOLE et LONS LE SAUNIER) sa mise en œuvre est portée par le Département. En ce qui concerne notre commune, les travaux de mise en place de la structure ont commencé le 8 octobre.
Tous les FAI qui le souhaitent peuvent se raccorder au réseau afin de proposer leurs services aux clients éligibles. Ils reversent un droit au délégataire.
Dès qu’un abonné souscrit un contrat, le FAI demande au délégataire de procéder au raccordement de ce client. Un technicien se rend sur place pour tirer une fibre optique depuis le point de mutualisation (qui se trouve dans la rue, le PBO point de branchement optique) jusqu’à une prise optique installée dans la maison.

Il souscrit une offre auprès du FAI de son choix à condition que celui-ci couvre sa zone de résidence. Pour savoir si tel est le cas, il lui suffit d’entrer ses coordonnées précises sur le site Internet du FAI pressenti. Ce dernier se charge de lui fournir l’équipement nécessaire (box, décodeur), d’assurer le service et de lui facturer.
Avec le déploiement du réseau public de fibre optique sur le département du Jura et la prochaine ouverture commerciale progressive des services fibre sur le territoire, nous constatons régulièrement l’apparition de démarchage frauduleux relatif à la commercialisation des services Très Haut Débit et au raccordement des foyers. Soyez prudent dans vos démarches.

L’article 6 de l’Arrêté Préfectoral du 13 mai 2012 précise que les travaux de bricolage et de jardinage réalisés par les particuliers à l’aide d’outils ou d’appareils susceptibles de causer une gêne en raison de leur intensité sonore, tels que tondeuses à gazon à moteur thermique, tronçonneuses, perceuses, raboteuses, scies mécaniques… etc, peuvent être effectués :
Concernant les tondeuses électriques, certes moins bruyantes que les thermiques, nous invitons les administrés à respecter les mêmes horaires d’utilisation cités ci-dessus dans le cadre du bien vivre ensemble.

D’une manière générale, les haies situées en bordures de propriété ainsi que les arbres et arbustes ne doivent pas nuire au voisinage. Pour cela, les haies doivent être taillées régulièrement afin d’éviter leur débordement sur les trottoirs et gêner le cheminement des passants. Les trottoirs doivent être accessibles aux piétons afin de ne pas les contraindre à descendre sur la chaussée.
Il est rappelé que la divagation des chiens est interdite et réprouvée par la loi (art. 213 du Code Rural)
Les déjections animales ne peuvent être tolérées sur la voie publique et il est demandé aux propriétaires d’animaux de les ramasser comme la loi les y oblige.
